dimanche 9 novembre 2014

Jour de la bête épisode 3,4,5,6 !

Bon je fais un tir groupé pour cette fois.
Apres tout,  la routine s’est installée et à moins d’un fait particulièrement marquant,  ou d' une évolution significative, je vais me contenter de condenser mes courtes impressions sur l’exercice en un seul article.
Pas la peine non plus de vous faire l’inventaire de mon menu tous les jours, je crois que vous avez saisi le principe et que ce qui transite dans mon estomac dans la journée doit autant vous intéresser que les cycles reproduction du suricate de namibie. 

Néanmoins, vous pouvez toujours me contacter si vous voulez des précisions ou conseils sur la construction des menus.

Voici donc ci dessous un bref aperçu des jours suivants.

Day 3. « Back & Bis »

Jour difficile ! Mes jambes ont salement morflé la veille.  Mes cuisses étaient si lourdes que j’avais l’impression d’être lesté par des poids en plombs.  C’est vraiment traître, car c’est le surlendemain qu’on a vraiment le feedback de notre séance d’entrainement.

Heureusement le jour 3, les jambes ne sont pas au programme car  c’est la séance « Back/Bis » qui est en vedette.  Cinquante minute de doux supplice qui ont  pour vocation de tailler votre dos en V et faire sortir les boules au niveau des biceps. Bref avoir de « Big Guns » et un dos a faire palir d'envie un adepte de flying suit.

Le workout, à l’instar de son titre,  est composé en deux parties. Une moitié du temps, le programme cible le dos  alors que les biceps sont ciblés dans la deuxième partie.
Au niveau du contenu, rien à signaler : c’est assez traditionnel comme approche. Le dos est ciblé par un mix de pulls ups, de flys, reverse flys.

Reverse Back Fly

Pour les biceps,  on a droit à plusieurs déclinaisons de curls & hammer que l'on peut faire au choix a la barre ou aux dumbells. Le tout est effectué dans  un rythme soutenu, qui est la signature de ce programme en général. Pas le temps de taper la causette et de se reluquer  devant le miroir comme dans une salle de sport : Ici le timing est crucial.


Hammer Curl


Day 4 « Shoulders ».

Ouch. Voila ce qu’il me reste comme impression après être passé à la moulinette pendant 38 minutes.
Les épaules, c’est intense et puis je ne sais pas si c’est parce que j’ai fait l’exercice vers 21h plutôt que 17h, mais j’ai vraiment dégusté pendant la nuit. J’avais l’impression que mon corps me faisait payer cher ma témérité et mon arrogance en montant la chaudière au maximum !

Et puis pendant la séance consacrée aux épaules, j’ai découvert mon exercice nemesis.

Le « 1-1-2 » Front Raise

On leve les bras tendus depuis la taille pour former un angle a 90 avec le reste du corps. D’abord le bras droit, puis le gauche et enfin les deux. Les 3 mouvement comptes pour une seule répétition.  On doit le faire 15 fois, puis 12, puis 8. Autant dire que sur la fin j’ai grincé les dents et grimacé a en faire peur à un singe de cirque.

Le front Raise, ou l'art subtil de la torture par torsion d'épaule...


Day 5 « Total Body»

Au jour 5, nous avons le choix entre cardio et total body J’ai hésité à lacher les poids pour me retrouver à sauter partout et suer à grosse gouttes, pour finalement me dire que j’allais plutôt continuer avec le levé de fonte.  Apres tout c’est la tendance du programme non ? Si je veux faire du cardio j’ai shaun T qui m’attend sur un autre DVD.
Sinon total body porte bien son nom. On exerce alternativement le bas, le haut et enfin le centre (core) durant 38 minutes. Pull-ups, push-ups, Crunches, lunges, curls, flys… tout y passe.
Ce qui change par rapport aux autre workouts, c’est qu’il n’y a que deux répetitions des series au lieu de trois.
Sinon, c’est vraiment un exercice très complet.





Day 6 « Rest »

Je ne vais pas m’en cacher, après avoir traumatisé mon corps, je pense que cette séance de repos arrive à point nommé.  Malgré tout, k’ai quand même l’étrange impression de manquer quelque chose, d’autant que le plan alimentaire stipule de toujours se goinfrer autant. Pas de baisse de régime, malgré une baisse d’activité... Etrange : Serait-ce le calme avant la tempête ?

Petite note importante sur la prise de créatine. Je me suis rendu compte que mes deux premiers jours n’ont pas servi à grand-chose, et que j’ai gâché ma potion magique post workout. En effet, afin d’être efficace, la créatine doit être prise avec une bonne dose de glucides. Les glycogènes sont rechargés par le sucre et la créatine en a besoin pour être transportée et pouvoir faire son effet. J'avais juste mélangé la créatine à la protéine... autant dire juste donner un coup d'épée dans l'eau.


Pour conclure, ci dessous, je vous joint une vidéo qui vous montre un shake typique (bon celui la est plutôt le shake du matin, mais il serait tout à fait valable pour prendre apres un exercice)


jeudi 6 novembre 2014

Le jour de la bête... Day 2.




Oui ça fait cet effet la...



Première victoire, aujourd’hui :

Je suis parvenu à me construire un plan alimentaire (en me basant sur celui de la veille) qui répond presque à mes besoins. Il reste encore  à faire quelques ajustement sur le pourcentage mais dans le fond ça respecte pas mal mes objectifs journaliers.

A titre indicatif voila le dit plan :

Déjeuner

  • English Muffin
  • Céréales
  • 2 cuillères de beurre de cacahuètes
  • 3 tranches de jambon

Collation de 10 heures


  • Shakeology + Banane
  • Barre de protéine


Midi


  • Tourtière du lac st jean


Collation PM


  • Shake de protéine + Lait de chanvre


Post workout


  • Shake + Glutamine + Creatine


Soir


  • Escalope de poulet
  • Quinoa





Bonne tite tourtière... bien riche !

Je note pour une prochaine étape : rajouter des légumes et du poisson.  Il y a clairement une carence à ce niveau.

Sinon pour le workout à proprement parlé.

Sagi annonce la couleur d’emblée en nous promettant de nous débarrasser de nos « chicken legs ».
Petite information utile. Les jambes constituent le plus gros groupe musculaire du corps. Les faire travailler demande énormément d’énergie et souvent on sue à grosses goutes…

Au menu du workouts… Au programme nous avons le droit à un un mix de squats et lunges, le tout décliné à la sauce Sagi. Rien de particulièrement exotique, mais aucun muscle n'est epargné.
Des lunges...
L’exercice dure au total une quarantaine de minute, mais j’ai terminé en me disant que j’aurais pu pousser d’avantage et je me suis noté d’augmenter la charge pour la prochaine fois.

... et des squats...
Mais étrangement quelques heures plus tard, j’ai eu l’impression que mes jambes pesaient vingt tonnes et je sentais déjà les courbatures… A ce moment précis je me suis dit :

« Toi, demain, tu auras du mal à marcher ».

mercredi 5 novembre 2014

Le jour de la bête.. DAY 1. Chest & Triceps

Ok, voici donc le Bilan de mon premier jour  avec la bête.

Mais avant de m’attarder  sur le  workout "Ches /Tri", je dois  absolument vous parler du plan alimentaire de Body Beast. 
D’une part car vous aurez beau soulever tous les poids du monde, si vous n’avez pas d’alimentation adaptée vous allez juste finir par vous faire mal pour rien.
Mais surtout, parce qu’il vient complément chambouler mes habitudes alimentaires. 
En effet, ce plan est assez strict et insiste sur la prise de…  6 repas par jours.
Oui.Rien de moins.

Pour commencer, il faut estimer par différents calculs, le nombre de calories à absorber quotidiennement. Ici, tout est question de la masse et du pourcentage de graisse.

Dans mon cas, Je me retrouve à devoir prendre 2600 Kcal en une journée. Ok. Cela semble faisable.
Après, vient la répartition. 50 %  de ces calories doivent  provenir des hydrates de carbone  (carbs ou glucides) avec une préférence pour les sucres lents (pâtes, pommes de terres, fibres), 25 % des protéines et enfin 25 % des graisses.





C'est aussi ça la musculation !

Ok. Bien sur le papier, mais en définitive je me trouve devant un véritable casse tête. Comment connaitre r face à un aliment, sa répartition calorique ? J’ai beau essayer de me concentrer, je n’arrive pas à invoquer une interface visuelle à la "Terminator" dans mon champ de vision qui m’indiquerait facilement sa composition et  ses nutriments. 

Le guide de Body Beast fourni un liste avec des exemple, mais je trouve que cela demande beaucoup d’effort de jouer au puzzles dans les différents groupes alimentaire pour se composer des menus pour la journée.

Mais qu’à cela ne tienne, je cherche sur internet, je commence mon fichier excel et mes calculs savant pour me faire un plan d’attaque. Ce qui prend du temps et… Mouais…Pour une activité censée me vider le cerveau, c’est plutôt raté !  Je me rassure en me disant que cette étape doit être pénible au départ et qu’à force, on n’as plus vraiment besoin de composer ses menus : cela doit venir naturellement.

Heureusement je trouve assez vite une application gratuite sur mobile. My Fitness Pal. Base de donnée alimentaire incroyable et qui offre meme la capacité de scanner les codes barres. A partir de n’importe quel aliment, l’application vous donne la répartition, les calories, les nutriments. Me voila sauvé d’un labeur pénible.

Bien, étant enfin armé pour attaquer mon plan alimentaire. Je compose mon plan d’attaque.

Petit déjeuner : 
  • Muffins anglais 
  • 1 tranche de fromage
  • 3 tranches de jambon


Collation de 10 heures
  • Shake de whey + glutamine 

Midi
  • Pates, œufs  Jambon


Collation après midi
  • Shakeology + Banane + amandes


Postworkout
  • Shake de whey + creatine + glutamine


Pour le soir, on verra. Rien n’est planifié.

Je respecte mon plan alimentaire et j’arrive donc le soir pour commencer le premier workout, "Chest/Tri"  

Le workout commence avec Sagi, qui explique qu’on va développer le « Chest » et les triceps !
(Jusque la tout va bien hein ! Cohérence entre le titre de l’exercice et son contenu)

Au départ, malgré son coté « beau gosse », Sagi fait peur et impressionne avec sa masse de muscle. Ce type est un molosse tout droit sorti de Cimmérie et on se l'imagine assez bien brandir une épée à deux mains et taillader un troll. Et pour son équipe c’est pas mieux.
Les gars qui l’accompagnent sont des buffles. Pas de petite frappe dans son gym.

Mon objectif ! Yeah !

Pour le contenu de l'exercice à proprement parlé, la spécificité de son entrainement c’est le rythme. Cela fonctionne par séries de trois séries de répétions (15/12/8). On commence la première série avec le poids le plus léger, pour finir avec le plus lourd. Avec quelques petites subtilités de temps à autres. Il y a des 15/12/8/8 avec le denier 8 qui prend le même poids que le 12.  On enchaine les répétitions le plus souvent avec un repos très court ou … carrément sans repos.
Pour Chest / Tri on alterne donc les pectoraux et les triceps sans discontinuer.

Coté caractère Sagi joue de son coté Bête. Ici ce n’est pas pour faible, et on vous le fait sentir direct. A un moment il se moque gentiment d’un de ses participants car il ne prend que 25 lbs pour un exercice
« This is body beast… barbie ! » lui lance-til.

Mmm.. je regarde mes propres “dumbells”, 15 livres. Ok. Si lui c’est barbie, alors je suis un teletubies anémié.

Des triceps avec un poid pareil ?
Sinon j’ai vraiment aimé. Le temps (48 min) est passé très vite et à la fin du workout j’ai fini avec les muscles en feu. Mais étrangement je sens que j’aurais pu pousser d’avantage. La prochaine fois peut être ?

OK. Viens le moment du Shake post workout, que je mélange à la créatine.
Burp… j’ai plus faim.  Mais bon, me faut encore de la protéine. Hop, deux œufs durs feront l’affaire.
Plus tard, après avoir mangé, Je check rapidement l’application et… et je vois qu’il me reste 1000 Kcal à consommer pour atteindre mon objectif. Wow.
Problème, j’ai vraiment plus faim du tout.
Finalement, je me sacrifie et je m’envoie une platrée de pâte. Ca ne fait pas 1000 Kcal mais apres tout c’est mon premier jour, j’ai bien le droit de me laisser une marge de progression non ?




mardi 4 novembre 2014

Le jour de la bête... D-0

 
Alors oui,  j'avais dit dans mon dernier poste que je continuerais ma description du programme P90X, et notamment la partie Cardio. Alors j'avoue, c'est encore dans mes plans, mais pour l'heure je vais consacrer mes prochains articles  au présent plutôt qu'au passé.
Et le présent c'est la musculation ! 
Après m'être évertué à me degraisser la carcasse facon hardcore en m'auto-infligeant des séances de totures cardio-training sous les invectives d'un psychopate de bootcamp(J'ai nommé Shaun T), puis d'avoir subi la lobotomie par flot de paroles par un hybride entraineur / entertainer (J'ai nommé Tony Horton) et puis m'être vu tel Jean claude vandamme dans Bloodsport (oui je sais une trés vieille référence, mais que voulez vous je suis vieux ) grâce aux programmes Les Mills combats, je me suis décidé à... grossir.
Presque deux ans plus tard, après avoir perdu 30kgs, me revoilà décidé à en reprendre.
Une voix dépitée me susurre à l'oreille.. "Vincent, t'aurais pas pêté un plomb... par hasard ?"

El día de la bestia ; Rien à voir avec le sujet mais ce film est excellent !

Naaaaaan. Même pas !

dimanche 14 septembre 2014

faire du X ne veut pas forcément dire faire du Pr0n ...

Ok. C'était facile.
Mais que voulez vous, mon humour (qui n'est après tout qu'une manifestation de mon esprit déviant) cible souvent les parties les plus basses ou rebondies de l'anatomie. Ceux qui me connaissent le savent très bien.. et les autres qui m'on déjà lu l'on deviné.
Bas les masques donc. Jouons cartes sur tables et que les chastes oreilles et les prudes aillent voir ailleurs si j'y suis.

Aujourd'hui je m'attaque  à un autre morceau. Un monstre du fitness, au muscle saillant, aux pommettes proéminentes,  à la dentition parfaite. Mais surtout doté d'un débit verbal qui pourrait rendre jaloux la pire des commères.

Tony Horton (que je continue malgré moi d’appeler Tim. Les québécois comprendrons, pour les autres francophones voir ci dessous)
Chaine de beignes (donuts) crée par un ancien joueur de hockey : Tim Horton

Tony Horton qui justement nous déconseille d'en manger (il mentionne les krispy kreme, autre marque de beigne)


Ce que propose ce brave Tony, c'est une autre expérience, tant au niveau du contenu, qu'au niveau de la présentation.

samedi 16 août 2014

L'attaque de la serpillière



Ce post inaugure une série d'article qui n'auront rien à voir avec le sport mais qui me servent de... défouloir. Je pense les publier sur une base hebdomadaire, mais franchement cela va surtout dépendre de mon inspiration ou ma santé mentale.

Vous êtes prêt ? Bien, parce que moi... pas vraiment !

Aujourd’hui je vais m' intéresser à un objet du quotidien particulièrement retors :

La serpillière.

En guise de préambule, voici cette courte fiche signalétique que je vous incite à partager sans ménagement, car, vous le verrez plus bas, ce simple geste pourrait sauver de nombreux couples.


Serpillière sous sa forme toxique

Serpillière innofensive











Catégorie : Objet

Habitat : 
On trouve cet objet un peu partout dans les foyers, bien que plus rare dans certains pays; ou  on lui préféra une moppe à frange. Cousine plus placide et amicale puisque moins solitaire (elle est solidaire de son manche)
Autre noms connus : moppe

Description :

Une serpillière (ou serpillère en orthographe réformée) est un morceau de toile grossière et résistante, de forme plus ou moins régulière et d'environ 50 cm de côté, servant à laver les sols à l'eau savonneuse (ou autre liquide). On la passe sur les sols durs et résistant à l'eau (ni la moquette, ni la terre battue, etc.) à l'aide d'un balai-brosse.


Bien, au delà de cette description sommaire, il y a tant à dire sur cet objet sournois que j’avoue ne pas savoir ou commencer.
Alors peut être devrais-je simplement vous introduire à ce qui fait la force et la férocité de cet objet : son apparente banalité.
Tout d’abords, une serpillière c’est extraordinairement commun. Il s’agit, après tout, d’un Carré de tissu que l’on rencontre principalement sous deux formes :

-Frippé lorsque sec
-Gorgé, lourd et gonflé lorsque croupissant dans une eau sale.

A noté également que la serpillière  est souvent confinée dans les ombres du quotidien, presque invisible dans l’ordinaire parcours de la ménagère.
Et justement, les experts sont unanimes c’est de la que provient sa dangerosité.
On s’habitue tellement à sa présence, qu’on ne la remarque plus.
 Un vieil ami poète (ancienne victime de la serpillière en rémission),  nous la décrit ainsi :

“Comme une araignée patiente, attentive au moindre frémissement de sa toile, la serpillière attend que l’homme, dans son filet de soie enchevêtre et que sa faiblesse il dévoile”.

Une autre éminente personnalité exprime brillamment la nature délétère de l’objet, il s'agit du professeur Karmolov, serpillièrologue émérite, qui l’exprime en ces quelques mots :
“Il est la hache de guerre que l’on détère, il est au couple ce que sarajevo fut à l’europe. Un catalyseur de tension, un semeur de discorde”

Ok. Vous vous demandez certainement ou je veux aller avec tout cela n'est-ce pas ?

Alors Laisser moi s’il vous plait vous présenter, sous forme d’un argumentaire autant éclairé qu’étayé,  la détresse que peut éprouver l’homo sapiens erectus face à cet objet sournois.

Et prenez en compte s'il vous plait que  ces observations viennent d’une recherche empirique s’appuyant entre autre  sur le récit poignant d’hommes (oui...  la serpillière s’attaque exclusivement à l’esprit masculin, dont elle a cerné toute les faiblesses et les travers) qui on perdu toute dignité lorsque qu'un jour  il furent confrontés à ce qui est communément appelé :

“L’Attaque de la serpillière”.

mardi 12 août 2014

60 jours plus tard...


Hé bien  non désolé… ce n’est pas le dernier film de zombies de Dany Boyle, mais juste le bilan de mon expérience avec Insanity. Décu  hein ? Tant pis c’est la vie.

Bon alors ce bilan ca donne quoi ?

Concrètement je ne vais pas vous mentir.

Dire que j’en ai « chié » tiens du doux euphémisme. Au bout d’un mois (phase 1), je commençais à me trouver vraiment pas mauvais… j’arrivais presque à suivre la totalité des exercices sans voir d’étoiles à la fin et  j’en étais plutôt fier. Oh bien sur, je n’avais pas encore atteint mon poids forme, mais tout de même … j’étais devenu beaucoup plus énergique et tonique. Et puis un regain de vitalité procure certains avantages !

« T’a vu chérie comment il est balèze ton homme ? il est musclé hein ? Et endurant aussi, et.. hé mais te sauves pas ! Comment-ça t’a la migraine !? »

Bref tout allait bien. Les deux phases sont séparées par une semaine d’exercices (recovery week) plutôt relax, en comparaison avec le marathon effréné d’avant...




Puis vint  la phase 2, celle qui vous fait comprendre que la phase I était une mise en bouche, une petite collation, un apéritif avant le plat de résistance !